-"On appartient à la populas tant que l'on fait toujours retomber la faute sur les autres, on est sur le chemin de la vérité tant que l'on rend responsable que soi-même, mais le sage ne considère personne comme coupable ni lui ni les autres", Dit Épictet sa fait 1800ans.
-"On la entendu mais on là oublier, non on ne la pas entendu, on ne la pas oublier, il y as des choses que l'on oublie pas mais l'oreille faisait des faut pour entendre l'oreille de Épictet sans doute."
-"La sagesse c'est le mur mur du solitaire sur la place tumultueuse".
Absolument il s'agit d'une vielle sagesse qu'on a oublié c'est à dire le fait que personne n'est coupable pour ces actions c'est ce que Nietzsche nous dis à plusieurs reprises commençant justement par "L'humain trop humain". Le remord n'a pas lieu d'exister parce que le remord: "le remords est la morsure d'un chat contre la pierre une bêtise"
Bêtise pourquoi? Parce que l'humanité doit passer d'un stade morale à un stade de sagesse, et la sagesse entre autre c'est reconnaître que ne nous pouvons pas culpabiliser les autres pour leur actions, que nous agissons toujours dans la nécessité et donc, ne nous sommes pas libre de choisir et de faire le mal ou le bien finalement après, vous rendre coupable d'avoir choisi dans un certain circonstance le mal, si on est pas libre on ne peut pas être coupable, effictivement que non et le mal c'est bien sûr ce qu'ils ont décidé, ce qui vous donne cette liberté ils ont décidé aussi ce qui est le mal et finalement il vous rend coupable d'une action que vous avez fait.
Il s'agit d'une philosophie Nietzschéenne de l'innocence ou Nietzsche nous explique que le libre arbitraire n'existe pas.
L’amour était en train d’écrire une histoire merveilleuse, Parce que ma conscience croyait avoir, une personne amoureuse On dormait dans cette maison de tendresse jour après jour Sans savoir que le mensonge faisait sa mise à jour Et que l’indifférence était en voyage Avant, on s’aimait follement dans cette cage Apres, il y avait l’infidélité et sa lumière Et c’était pour me rappeler à chaque fois ma prière, Chaque fois sa tête restait dans ma poitrine Parce que le présent rayonner en merveille, Mais pendant que le passé s’entraider avec le futur, sous une vérité hors norme, Et moi, c’était pour la première fois de confier mon cœur à mes larmes Parce qu’il y avait des mélancolies dans mon texte. Le temps a mis nos regards, chacun dans sa direction, sans test Pour déterminer ce virus, qui venait d’infecter notre amour On parlait dans cette cage de tendresse jour après jour Sans savoir qu’un jour le silence gouvernera notre parole Car le mensonge venait de faire...
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