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Le parfum de suskind patrik

Est ce que c'est possible d'écrire les odeurs ?
je pense que non mais je pense aussi que les écrivains n'écrivaient pas s'ils ne cherchaient pas a écrire sur ce que on ne peut pas écrire cotant G.Flaubert: le livre sur rien, faire un livre sur rien alors si on veut écrire un livre on peut choisir les odeurs.
PARFUM, les premières pages on est dans la "puanteur" et c'est une page tout a fait extra ordinaire parce qu'elle repose sur un paradoxe comme l'écrit l'auteur : c'est le royaume évanescent des odeurs, plus précisément ce qui échappe : l'odeur. C'est pour ça que c'est un roman de quête c'est que l'odeur est une description extrêmement concrète physique qui nous immerge complètement dans ce monde et c'est l'autre caractéristique de l'odeur c'est a quoi on ne peut pas échapper, on commence par L’extrême puanteur et sa va être ensuite le cœur du cœur de la ville de Paris le cœur le plus puant de cette puanteur pour aller vers la création du parfum le plus sublime.
L'auteur ne choisit aucun terme a part le terme de puanteur qui le plaît?
     Je pense qu'il y a aussi un rapport avec la société où  l'époque  d'écrits qui choisit  Suskind, d'inscrire ce récit dans le 18 siècle (c'est pas un hasard) et cette société  d'ancien régime quand  présente toujours comme une société  de caste très hiérarchisée, ici donne une impression  contraire de grande identité entre ces individus puisque  tout pu à égalité, et c'est aussi une manière à la fois de créer une forme d'exotisme pour le lecteur parce que il s'agit d'une époque où ça sentait encore à la fois le dégoût  (une manière utiliser  par Suskind pour rendre le lecteur sensible à l'auteur), "le dégoût" est intéressant  parce que d'une certaine manière  c'est l'idée  a travers  la qu'elle on peut goûter  la chose : l'avoir sur la bouche. Une manière qui immerge  le lecteur dans une sorte de plaisir, un plaisir du dégoût ,et donc Suskind joue sur l'aspect de la description.
Quelle défi de vouloir proposer une histoire qui a pour thème centrale la question des odeurs, et d'essayer de traduire ces odeurs  par des mots?
           Suskind  joue sur des registres assez inconscient  du lecteur mais en même temps il s'agit d'une succession de mots et de description qui prennent cette réalité par le billet de l'odeur.
Le personnage principal : Grenouille, c'est la deuxième face du romancier, puis qu'il a pour ambition de créer un parfum qui arrive à séduire et à embarquer tout les êtres humains, et c'est bien ce que l'auteur essaye de faire avec "le parfum".
Tout commence par la naissance de Grenouille, né dans l'endroit le plus puant de la capitale d'une mère qui a une activité  avec l'odeur : poissonnière dans le marché des innocents donc le double statut du personnage qui va orienter sa quête est paradoxal d'une part il a le "don" surnaturel de percevoir tout les odeurs, d'être sensible à chaque réalité du monde pour Grenouille deux grains de sables non pas la même odeur : une perception du monde extrêmement précise, et d'autre part lui même ne sent rien; ça veut dire qu'il n'a aucune odeur et c'est ce qui est mit en avant dès les premiers chapitres : la première nourrice à qui il s'est confié se nomme John Bussi va se débarrasser de lui par cause qu'elle voit en lui une cratère diabolique car un enfant doit avoir une odeur,un parfum humain.
C'est ce paradoxe qui va construire tout le roman et la quête du personnage.

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